Semaine 9 : Être malade !

Lundi 15 octobre : j’ai été malade toute la journée. J’ai pris les médicaments nécessaires et cela m’avait fait du bien. En fin de journée, je suis rentré à Tarija avec les intercambios. C’était la fin du voyage.

Mardi 16 octobre : je ne suis pas allé au lycée et je me suis reposé. J’ai pris des médicaments.

L’après-midi, j’ai écrit la semaine 7 et 8 (car j’ai du retard). A nouveau, j’ai changé de maison. Je suis allé dans la maison de ma grand-mère (et je vis avec elle, ma mère et sa fille). Ce changement avait ses raisons. Ma mère était beaucoup fatiguée à cause de son enfant. Ainsi, elle a choisi de vivre avec sa mère pour qu’elle puisse l’aider. Et cela, lui permet d’être plus proche de son lui de travail car il est en bas de l’immeuble où nous vivons.

Mercredi 17 octobre : je me suis reposé toute la journée pour être en pleine forme. J'ai pensé reprendre les bancs de l’école car je commençais à être mieux. Je me sentais moins malade même si ma gorge m'était douloureuse.

Jeudi 18 octobre : je pensais que ça allait mieux. Mais non ! La pire nuit ! Il a fait une chaleur horrible et même avec la fenêtre ouverte, rien n'a changé. Puis, mon angine a fait son apparition et m'a mené la vie dure. J’ai très très peu dormi. Je ne suis donc pas allé au lycée. Sinon cela aurait été de la torture. J’en étais persuadé. Mais, si je vais aller quelque part, c’est bien chez le médecin, parce que là, d’être malade, ça commence vraiment à courir sur le haricot (pour ne pas être vulgaire). Enfin bref.

J’ai mangé au restaurant avec Véro et sa mère.

Je suis rentré à la maison pour me reposer. J’ai aussi bu un petit verre d'un mélange de miel et citron. J’ai connu mieux comme goût mais c’était efficace. Puis, je suis allé à une clinique pour aller voir un médecin du Rotary. Si seulement, il n’avait pas eu du retard. Nous avons attendu une bonne heure et demie. Nous étions assis sur un vieux banc et nous avons vu passer AUCUNE PERSONNE. Par exemple en France, je veux bien comprendre qu’il y ait du retard parce qu’il y a beaucoup d’urgence. Mais ici ! Il n'y avait PERSONNE. Je ne sais pas ce que faisait le médecin mais la clinique était déserte. Clairement, j’étais frustré. De plus, Véro avait une consultation et nous avons dû mettre les voiles. Coup dur. Finalement, nous y sommes retournés et il nous a reçus. Il m'a fait un diagnostic et il n'y a rien de grave. Puis, il m’a prescrit des médicaments pour me soigner. Merci au Rotary ! Nous n’avons rien payé ! Depuis le début de semaine, le temps était pluvieux et chaud. Durant cette nuit, cela a explosé et le nature s’est déchainée. De nombreux éclairs se sont dessinés dans le ciel en fracassant ses rayons jaunes sur le sol. Sa force a arrêté le courant électrique de la ville et nous a plongés dans le noir total.

Vendredi 19 octobre : j’ai dormi jusqu’à 11h car maintenant, j’arrive à peu près à faire mes nuits.

Nous avons mangé au restaurant avec Véro.

Après le repas, nous sommes allés à la maison de Véro pour récupérer de la farine. Il en manquait chez Fati. Cet ingrédient qui est très commun pour cuisiner, m’a servi à faire mes premières crêpes. J’en ai préparé parce que vers 4 h, j’ai invité les intercambios à la maison. Les crêpes étaient plutôt bien réussies même si, le goût changeait un peu. Ensuite, ils sont partis aux alentours de 7 h.

Samedi 20 octobre : j’ai fait une grasse mat. Puis, j’ai enfin publié la semaine 7. Danie et Lolo sont venus à la maison.

Nous sommes tous partis mangés au restaurant avec Véro, Danie, Lolo, Dani, Xime et sa mère.

Nous avons fait les courses avec Véro. J’ai fait une sieste. Puis, je suis reparti chez le docteur et je lui ai demandé un papier disant ce que j’ai eu et le traitement qu'il m'avait donné. Le Rotary devait en avoir la connaissance par écrit.

Dimanche 21 octobre : J’ai fait une grasse mat.

Nous sommes allés manger chez Xime. Dani avait cuisiné. Il y avait tout le monde de la famille proche.

Je suis allé avec Sarah et Nati, voir d’un mirador la vue de Tarija. Ensuite, nous sommes allés marcher un bon moment en ville. Vers 8 h 30, je suis rentré à la maison et j’ai fait des crêpes à toute la famille.

Je n'ai plus de retard. Me revoilà !

Merci d'avoir pris le temps de lire

A la semaine prochaine